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Chaussures de trail La Sportiva collection 2017

Comparatif chaussures de trail La Sportiva

Les chaussures de trail La Sportiva se forgent, à juste titre, une solide réputation années après années. Confort, amorti, résistance, stabilité : les modèles de la marque italienne offrent de grandes performances dans tous ces domaines. Focus sur 3 modèles phares de la collection 2017 de La Sportiva : l’Ultra raptor, l’Akasha et l’Akyra. Commençons par un comparatif des principales caractéristiques de ces chaussures de trail.

Ultra Raptor Akasha Akyra
Poids (42) 350 g 330 g 380 g
Drop 9 mm 6 mm 9 mm
Intersemelle Intercalaire EVA injecté Intercalaire EVA injecté
+ amorti talon insert High volume
 Intercalaire EVA injecté
Semelle  Frixion XF Frixion XT Frixion XT

Chaussures de trail La Sportiva Ultra Raptor

La Sportiva Ultra Raptor

L’Ultra Raptor, comme son nom l’indique, est conçue pour les longues distance, y compris les ultra-trails. Doté de protections efficaces, cette chaussure est stable même dans les terrains difficiles, et procure un grand confort, même pour les grands gabarits.

Très accrocheuse, c’est une très bonne chaussure pour les trails en montagne.

La Sportiva Akasha

Chaussures de trail Akasha La Sportiva

L’Akasha est elle aussi conçue pour les longues sorties, comme les ultra-trails. Elle est plus souple et offre un meilleur déroulé du pied que l’Ultra Raptor mais bénéficie de moins de protections et d’une stabilité plus faible dans les terrains techniques.

Cette chaussure polyvalente bénéficie également d’un plus grand amorti qui la rend très confortable.

La Sportiva Akyra

Le chaussant de l’Akyra est plus étroit que les deux modèles évoqués précédemment. Elle est très performante dans les rochers, grâce à sa grande stabilité et sa bonne résistance aux torsions. Elle est un peu plus lourde que les modèles précédents.

Ce modèle peut s’utiliser sur de longues distances sans problème. Elle est idéale pour le skyrunning.

Présentation chaussures de trail La Sportiva 2017

Voici une petite présentation de ces modèles en vidéo pour un meilleur aperçu de la collection 2017 !

Ces modèles sont disponibles pour homme et femme sur notre site internet. Une question sur la pointure à choisir ? Consultez le guide des tailles La Sportiva !

 

Courses à obstacles : le phénomène Run & Fun

Courses à obstacles : le phénomène Run & Fun

Spartan Race, Mud Day, Frappadingue… Les courses à obstacles sont de plus en plus nombreuses ces dernières années en France et dans le monde. Ces courses, aux difficultés et longueurs variables rassemblent plusieurs milliers de personnes chaque année aux quatre coins du pays. Mais pourquoi cette discipline prend tant d’ampleur ?

Du fun, du fun et encore du fun !

Si une partie des participants recherchent la performance sur les courses à obstacles, la grande majorité des coureurs cherchent avant tout à s’amuser ! Et il y a tout ce qu’il faut pour prendre du plaisir sur ce type d’épreuve : une ambiance bon enfant, des déguisements plus originaux les uns que les autres, un parcours original, des obstacles en pagaille et (souvent) de la boue !

Les courses d’obstacles, seul ou en équipe, sont une belle manière de briser la monotonie de la course ou du trail classique. Dans ce registre, elles se rapprochent des courses de couleur (mais dans la boue !).

Et le sport dans tout ça ?

Si passer un bon moment est une priorité, le dépassement de soi est une autre valeur des courses à obstacles. L’enchaînement entre les courses et les franchissements d’obstacles se fait très rapidement. Ainsi, les concurrents n’ont que peu de temps pour récupérer de leurs efforts.

Les parcours des courses ont des distances très variables. Certaines sont courtes, parfaites pour les coureurs en reprise ou les enfants. D’autres sont beaucoup plus ardues et se rapprochent des marathons et ultras (plus de 40 kms) qui ne dépayseraient pas les spécialistes de trail. Le nombre d’obstacles dépend bien sûr de la distance parcourue. A titre d’exemple, une Super à la Spartan Race se dispute sur environ 13 kms et est composée de plus de 25 obstacles.

Justement, à quoi ressemblent ces obstacles ? Ils sont eux aussi très variés : ramper dans la boue sous des fils barbelés, marcher en équilibre sur une corde, escalader toute sorte de murs, grimper à des échelles, porter des pierres, traverser un point d’eau ou encore soulever un pneu de tracteur. La seule limite est l’imagination des organisateurs de ses courses.

Pour venir à bout de ces parcours du combattant, il vous faudra trouver l’équilibre entre cardio, force et agilité. Mais la clé des courses à obstacles reste l’endurance. En effet, il faut pouvoir rester régulier dans l’effort et concentré sur toute la distance, surtout dans le cas d’une épreuve ultra. Pour cela, un entraînement running régulier est conseillé (surtout pour les longues distances). Le crossfit est aussi un bon moyen de développer sa force et son agilité.

Où trouver des courses à obstacles ?

Si la Spartan Race, la Frappadingue et le Mud Day figurent parmi les épreuves les plus connues, elles ne sont pas seules ! De nombreuses courses à obstacles ont lieu sur notre territoire ! En montagne, en pleine nature ou en ville ? Plutôt Facile, sportive ou extrême ? A vous de choisir celle qui vous convient ! Bonne chance… et amusez-vous bien ! 😉

Comment choisir son VTT selon sa pratique ?

Comment bien choisir son VTT pour sa pratique ?

Comment choisir son VTT ? Quels critères privilégier ? Dans ce guide, nous passerons d’abord en revue les principaux composants d’un VTT et leurs différences. Ensuite, nous verrons quelles sont les caractéristiques à rechercher selon son type de pratique.

Le cadre

Le choix du cadre est essentiel pour bien choisir son VTT. Il existe deux types de cadres :

  • Semi-rigide : Idéaux pour débuter, les cadres semi-rigides (une seule suspension, à l’avant) s’adaptent aux sorties légères aussi bien qu’aux plus sportives. Il convient aux budgets modestes.
  • Tout-suspendu : le VTT tout-suspendu bénéficie de deux suspensions. Cela apporte un grand confort (notamment en descente), une certaine facilité en montée, un supplément d’adhérence et de motricité et une meilleure sécurité de conduite. En revanche, le coût d’un VTT tout-suspendu est généralement bien plus élevé que pour les semi-rigides.

Les cadres de VTT sont la plupart du temps conçus en aluminium. Cette matière permet d’avoir un vélo léger à un prix raisonnable. Cependant, les cadres en carbone, plus légers et rigides pour une conduite plus nerveuse, se développent de plus en plus. Ils s’adressent aux budgets plus importants. D’autres matières composent des cadres mais elles sont plus rares (titane) ou dépassées aujourd’hui (acier).

Les roues

Autrefois diamètre de référence des roues, le 26″ est aujourd’hui en voie de disparition. L’industrie du cycle mise aujourd’hui sur le 27.5″, largement plébiscité par les pratiquants, mais aussi sur le 29″. Les roues de 27.5 pouces offrent un bon compromis entre le rendement et la maniabilité, très appréciable dans les zones montagneuses. Les roues de 29 pouces, plus grandes, proposent plus d’inertie donc un meilleur rendement, en plus d’une meilleure capacité de franchissement. En contrepartie, elles seront un peu moins maniables dans les passages techniques comme les descentes.

L’autre nouveauté des roues de VTT concernent les sections : les roues plus larges d’une section d’au moins 2.8 sont là pour apporter plus d’accroche.

Les freins

On distingue 3 types de freins :

  • Les patins V-Brake : Économiques et simples à entretenir, les patins V-Brake manquent de puissance dans des conditions humides et sont globalement assez dépassés et réservés à de l’entrée de gamme.
  • Les freins à disques mécaniques : Ils sont légèrement plus puissants que les freins V-Brake, tout en s’entretenant tout aussi facilement. Ils s’adaptent bien en VTT aux sorties courtes où les freins ne sont pas trop martyrisés.
  • Les freins à disques hydrauliques : Ces freins sont plus puissants que les deux précédents. Ils offrent une certaine constance pour doser son freinage. Enfin, ils sont aussi efficaces sur route (ou chemins, sentiers, etc…) sèche que mouillée. Ils coûtent en revanche plus chers que les autres types de freins.

Ces trois types de freinage ont leurs qualités et leurs défauts. Pour résumer, on peut dire que les freins à disques hydrauliques sont à privilégier dès qu’on parle d’une pratique sportive.

Les plateaux

Triple, double ou mono-plateau : comment faire le bon choix choix pour votre VTT ?

  • Triple-plateau : Il se retrouve le plus souvent sur les vélos loisir. Il offre une grande plage d’utilisation mais a pour inconvénient d’être assez lourd.
  • Double-plateau : C’est le choix le plus fréquent pour le VTT sportif. Il offre lui aussi une large plage d’utilisation mais est plus léger que le triple-plateau. Les croisements de chaîne sont aussi plus rares.
  • Mono-plateau : Plus léger et plus simple, puisqu’une seule manette est nécessaire pour changer de vitesses, la plage d’utilisation du mono-plateau est plus restreinte que celles du double ou triple-plateau (bien que les nouvelles transmissions à 11 ou 12 vitesses apportent une solution à ce problème). Il faut aussi choisir un plateau adapté au physique du pilote.

Les fourches

Sans trop rentrer dans les détails techniques, voyons les différences entre les deux types de fourches pour VTT.

  • La fourche élastomère : Elle se trouve principalement sur les VTT d’entrée de gamme. Son principal avantage est qu’elle n’a besoin que de très peu d’entretien. En revanche, la qualité de l’amortissement est moins bonne qu’avec les fourches à air, comme la sensibilité aux chocs.
  • La fourche à air : Elle nécessite un entretien plus minutieux, mais offre un amortissement de meilleure qualité, une meilleure sensibilité aux chocs et des réglages possibles plus nombreux. Le meilleur choix pour une pratique sportive.

La taille

La taille d’un vélo est l’un des éléments les plus importants pour choisir son VTT. Le tableau suivant n’est là qu’à valeur indicative. Les tailles peuvent varier selon les modèles, les constructeurs et surtout votre pratique favorite. En cas de doute sur la taille d’un modèle, n’hésitez pas à nous contacter !

Votre taille (en m) 1,60 à 1,70 1,70 à 1,80 1,80 à 1,90 1,90 et +
Taille VTT S M L XL

Comment choisir son VTT selon sa pratique ?

Pour bien choisir son VTT, il est nécessaire de savoir dans quelles situations il servira, quelle pratique est votre favorite ? Voici un tableau comparatif entre le VTT loisir, le cross-country, l’enduro / all-mountain (ou trail) et la descente pour vous aider à choisir votre VTT.

Loisir

  • Semi-rigide
  • Pratique occasionnelle et non intense
  • Fiable mais économique
  • Triple ou double-plateau
    • Polyvalence maximum
  • Freins à disques mécaniques ou hydrauliques
  • A partir de 450€

Cross-Country

  • Semi-rigide ou tout-suspendu
  • Débattement : 80-120 mm
  • Légèreté et rendement maximum
  • Freins à disques hydrauliques
  • Double ou mono-plateau
  • A partir de 600€ (semi-rigide) et 2000€ (tout-suspendu)

Enduro/AM

  • Tout-suspendu
  • Bon équilibre entre légèreté, rendement et confort
  • Débattement important (entre 120 et 160 mm)
  • Freins à disques hydrauliques :
    • Diamètre disque : 180-200 mm
    • Grande puissance de freinage
  • Double ou mono-plateau
  • A partir de 2500€

Descente (DH)

  • Tout-suspendu
  • Gros débattement  (>180 mm)
  • Mono-plateau
  • Freins à disques hydrauliques grande puissance
  • A partir de 3000€

Maintenant que vous y voyez plus clair, n’hésitez pas à consulter les VTT disponibles sur la boutique ! Et pour rouler en sécurité, vous pouvez consulter notre guide sur le choix du casque pour VTT.

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Comment choisir son casque de VTT ?

Comment choisir son casque de VTT ?

Pour protéger au mieux votre tête lors de vos sorties VTT, rien ne vaut un bon casque ! Il vous permettra de rester en sécurité en cas d’impact de votre crâne avec le sol, des pierres ou les arbres… Mais comment faire le bon choix  ? Quels sont les critères à retenir pour bien choisir son casque de VTT ?

Type de pratique

Le choix de votre casque de VTT dépend de votre pratique favorite. En effet, chaque pratique a ses spécificités (terrains empruntés, vitesse, longueur du parcours…) qui seront répercutées sur le choix du casque. C’est parti pour un petit tour d’horizon des différents types de pratique de VTT.

Loisir / Cross-Country

casque cross-country loisir

Les casques Cross-Country et Loisir font la part belle à la légèreté et aux aérations. Le confort de ces casques permet de les garder sur la tête pendant plusieurs heures. Le meilleur choix pour le cross-country, amateur ou en compétition, et les randonnées loisir.

Descente (DH)

Casque DH

Le casque intégral est spécifiquement conseillé pour la Descente. Il offre une protection maximale, notamment au menton, nécessaire dans cette discipline où les vitesses atteintes sont bien plus hautes qu’ailleurs. En revanche, le poids et la ventilation ne sont pas leurs points forts puisque ces casques ne sont pas conçus pour être portés très longtemps. A conseiller seulement en descente.

Enduro / All-Mountain

Casque All-Mountain / Enduro

Les casques pour les pratiques All-Mountain ou Enduro offrent un bon équilibre entre la protection et la légèreté. Ils protègent mieux qu’un casque cross-country, notamment à la nuque et sur les côtés, tout en restant léger et aéré. Parfait pour vos trails et longues randonnées en montagne.

Casques hybrides

Casque hybride All-Mountain & DHLes casques mixtes sont des casques qui peuvent servir à la fois en DH et pour une pratique All-Mountain. En effet, la mentonnière est amovible et se clipse ou déclipse très facilement quand vous en avez besoin.

Ce type de casque est pensé pour le rider qui pratique ces deux disciplines et ne souhaite pas investir dans deux casques différents, ainsi qu’aux fans de trails aux descentes rapides et engagées. Montez la mentonnière pour la descente et rangez-la à la fin de celle-ci.

 

 

 

Technologie MIPS

La technologie MIPS (Système de protection contre les impacts multidirectionnels) a été développé par des scientifiques du Royal Institute of Technology et de l’hôpital universitaire Karolinska à Stockholm. Conçue pour les casques de ski à l’origine, cette technologie s’applique également aujourd’hui aux casques de VTT. Elle permet, en cas d’impact, d’accompagner le déplacement du cerveau et d’absorber en partie l’onde de choc, et ainsi réduire au maximum les effets du choc. Les casques des marques Bell, Scott et Giro notamment proposent cette technologie. Les casques bénéficiaires de cette technologie sont généralement les casques de DH.

Technologie MIPS

Casque de VTT enfant

Pour choisir un casque VTT destiné à un enfant, les mêmes critères vus précédemment sont valides. La seule distinction se fera au niveau de la taille. En effet, nous vous conseillons de choisir un casque avec un système de réglage à molette pour qu’il puisse la garder un peu plus longtemps qu’un casque à taille unique.

Vous voilà fin prêt à choisir le meilleur casque de VTT possible pour apprécier au maximum et en toute sécurité votre activité !

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Comment choisir son casque de vélo route ?

Comment choisir son casque de vélo route ?

Sans être obligatoire aujourd’hui (du moins pour les adultes), le casque reste néanmoins le meilleur moyen pour éviter les blessures à la tête en cas de chute à vélo. Il vous protégera des impacts et pourra même dans certains cas vous sauver la vie. Mais pour être efficace, un casque doit être adapté à son porteur. Alors, comment bien choisir son casque de vélo route ?

Taille et forme

La taille est le critère le plus important dans le choix d’un casque. Il faut le prendre à la bonne taille, ni trop petit, ni trop grand, sous peine de le rendre inefficace. Pour choisir la bonne taille de votre casque de vélo route, mesurez votre tour de tête avec un mètre souple ou un ruban au-dessus des sourcils.

La forme de votre crâne a aussi son importance. Dans le doute, il est conseillé d’essayer les casques avant de les acheter.

La protection

Tous nos casques sont certifiés par différentes normes et assurent la même protection optimale, sans considération de prix ou d’autres critères. La différenciation des casques se fera sur d’autres critères.

La légèreté

La légèreté fait partie de ces critères. Un casque léger est particulièrement pratique pour les sorties longues. Pour les sorties courtes, le poids d’un casque se sentira moins.

Les aérations

Les aérations d’un casque permettent d’évacuer la transpiration et la chaleur ressentie. De nombreuses aérations sont appréciables lors des sorties loisir sous fortes chaleurs. En revanche, un casque avec de nombreuses aérations sera moins aérodynamique. Il faudra donc trouver le bon compromis entre aérations et aérodynamisme pour les compétiteurs.

Le confort

Le confort d’un casque est subjectif car il dépend de votre tête. Un casque pourra vous paraître inconfortable mais sera très vite adopté par vos amis cyclistes… Le meilleur moyen de juger du confort d’un casque est bien évidemment de l’essayer.

Quand changer son casque de vélo route ?

Un casque doit être changé à chaque impact. En effet, en cas de choc, il ne pourra plus assurer une efficacité optimale. Si vous ne chutez pas pendant une longue période, nous vous conseillons tout de même de changer de casque tous les 5 ans. Au-delà de cette période, il ne sera plus considéré comme efficace.

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Tuto : Comment passer une roue en tubeless ?

Comment passer une roue en Tubeless ?

Pourquoi passer une roue en Tubeless ?

Passer une roue en Tubeless : à quoi ça sert ?
Le tubeless permet de rouler en basse pression.
Cela apporte un gain en motricité et confort.
Le risque de crevaison est également plus bas en tubeless qu’avec des pneus classiques avec chambres à air.
En VTT, rouler en tubeless change vraiment la vie !

Matériel nécessaire

Pour passer vos roues VTT en montage Tubeless, vous aurez besoin du matériel suivant :

  • Une roue de VTT, de n’importe quelle taille (26″, 27.5″, 29″)
  • Un kit Tubeless comprenant (pour chaque roue) :
    • du scotch pour le fond de jante
    • un tube de liquide préventif (2 si vous réalisez l’opération sur une roue 27.5 plus ou 29 plus)
    • une valve
  • Un compresseur ou une bonne pompe à pied
  • Une pince universelle
  • Un démonte-obus

Étape 1 : Mise en place du scotch

Quelques opérations très simples sont nécessaires avant de mettre en place le liquide préventif dans le pneu :

  • Si ce n’est pas déjà fait, retirez le pneu de la jante.
  • Ensuite, retirez le fond de jante, qu’il soit compatible tubeless ou non.
  • Vérifiez que votre jante est bien propre.
    N’hésitez pas à passer un coup de chiffon si ce n’est pas le cas.
  • Munissez vous du scotch de votre kit Tubeless.
  • A l’opposé du trou de valve, posez le scotch – bien centré – sur la jante en prenant soin de bien tirer pour ne pas faire de pli.
    Tirez sur 40 cm et plaquez le.
    Faites le tour de la jante de cette façon, en évitant les plis et les bulles d’air.
  • Croisez le scotch sur 15 cm lorsque vous arrivez au départ.
  • Coupez le scotch  et plaquez le bien.
  • Vérifiez bien qu’il n’y ait pas de bulles.
  • Si vous avez un fond de jante compatible Tubeless, remettez-le en place (bien au centre) pour doubler l’étanchéité.
    Sinon, ne rajoutez rien au-dessus du scotch.

Voilà, votre jante est bien étanchéifié, l’air ne passe plus à travers les trous des têtes de rayon.

Étape 2 : Mise en place du pneu

Vous pouvez maintenant rentrer le pneu sur la jante.
Pour qu’il glisse mieux et se mette bien en place dans la jante, appliquez du produit spécifique ou de l’eau savonneuse sur la tringle du pneu.

Ensuite, commencez à mettre en place le pneu.
Avant de le rentrer complètement, positionnez la valve dans son trou et serrez son écrou à la main.
Puis munissez vous d’une pince universelle et serrez jusqu’à ce que la valve épouse bien la jante.
Serrez fortement jusqu’à ce que vous ne puissiez plus serrer.

C’est bon ? Vous pouvez alors janter le pneu entièrement et le gonfler au compresseur (ou avec une très bonne pompe à pied) avec une pression entre 3 et 4 bars.
Vérifiez que tout va bien, que le pneu est bien en place.

Étape 3 : Mise en place du liquide préventif

On va maintenant mettre en place le liquide préventif.
Commencez par démonter la valve à l’aide d’une pince ou d’un démonte-obus.
L’air s’échappe, c’est normal.
Prenez le flacon de liquide préventif, secouez-le bien et injectez-le entièrement par la valve.
Si votre roue a une section large (27.5 Plus par exemple), videz un autre flacon.
Pour une section classique, un seul suffit.

Une fois que le produit est à l’intérieur, resserrez-la tête de valve et bloquez-la avec son écrou.

Étape 4 : Finalisation et contrôle

Vous pouvez maintenant gonfler une nouvelle fois le pneu, autour de 3 bar, pour qu’il soit bien en place.
Faites tourner la roue pour répartir le produit à l’intérieur du pneu.

Voilà, votre roue est tubeless !
Laissez-la au repos un petit moment avant de la gonfler avec une pression plus basse, idéale pour le tout-terrain, entre 1 et 1,5 bars selon la section du pneu.
Il est conseillé de changer le produit préventif au bout de 4-5 mois (selon l’utilisation) pour éviter qu’il ne sèche ou coagule trop et soit ainsi moins efficace et plus sujet aux crevaisons.

Tuto vidéo : passer une roue en Tubeless

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