BIKES IN NEW YORK

Allez un petit périple, euh non…un grand périple à New York, nous a permis d’observer ce qui roule en 2 roues dans la ville mythique.

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En essayant tout d’abord de détourner son regard des monstres de 4×4 qui envahissent les avenues, des Chevrolet Suburban aux Cadillac Escalade, on est vite impressionné par les coursiers qui se faufilent entre les taxis et toute la faune des 4 roues.

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La ville du Fixies ça c’est sur, mais en ce qui concerne les purs cyclistes, les routiers prennent largement le dessus, aucun VTT, pas de Street, pas de Dirt, et que du bitume donc pas de vrais VTTistes.

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D’autres régions, d’autres villes américaines sauront s’imposer come terrain de jeu du vélo à crampons.

Les « vrais » cyclistes sportifs de New York sont donc principalement des amateurs de vélo de route, et la on voit vite les puristes nationaux préférant de loin les Cannondale, Spécialized, Trek et Giant, aux nostalgiques du vieux continent chevauchant les autres Bianchi, Pinarello et Colnago. Eh oui, les marques Italiennes sont + que présentent et semblent bénéficier d’une excellente notoriété.

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Je cherche des Titanes, mais pas facile, on voit que le métal « magique » passe de mode, quelques Merlin ou autres Carbon-titane tout de même, mais rien d’ envahissant.

L’acier semble rester une valeur refuge dans le 2 roues, de quoi se démarquer ou du moins se donner un style vintage.

 

Marques américaines, marques italiennes… et les marques Françaises alors, allez on cherche un peu et hop un vieux Peugeot …en acier bien sûr. Du vrai, du solide de l’increvable qui a traversé l’Atlantique, mais à par ça: rien, en tout cas plus rien, snif on fait pas rêver et apparemment les B-Twin non plus.

Limités au tour de Central Park, les « pauvres » routiers sont loin de nos cols mythiques mais cet écrin de verdure est le bien venu dans une ville aussi belle que folle qu’est New York.

 

Si on se détache un peu des coursiers et des routiers qui ont la chance de pratiquer le vélo pour pouvoir faire du sport, on croise bon nombre de travailleurs d’origine hispanique ou asiatique qui vont ou reviennent du boulot avec du VTT cannibalisés en VTC , de grosses chaines antivol, de bons phares massacrent encore un peu plus ces fidèles montures mais qui remplissent bien leur rôle.

Pas d’électriques, le VAE n’a pas vraiment d’utilité dans une ville assez plate, le prix ou le coté non sportif repoussent encore les amateurs du 2 roues, bien loin du succès indiscutable dans nos régions alpines.

Allez la prochaine fois le Colorado nous dévoilera d’autres surprises, + de sport, + de montagne, d’autres styles.

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